Espace d'expositions permanent:
Une bretonne au désert.
De L'ARMOR A L'ART MAURE.
Atar, Rue du 28 Novembre après le Rond point, en direction de Chinguitti, sur la droite.
N 20 31 206
W 013 02 919
J'ai visité cette exposition, et j'y ai decouvert un Mauritanien fier de l'être, mais surtout un amoureux de son pays dont la Mauritanie peut être fière. J'aime la Mauritanie. Il m'a fait aimé ceux qui aiment son pays, et en premier Odette du Puigaudeau, qu'il expose avec un amour et une tolerance, qu'on ne trouve que dans ce pays aux millions de poètes, ce pays à l'hospitalité légendaire: le pays du thé, de la belle étoile, de l'horizon, et du silence...la terre des hommes. Qui visite la Mauritanie en revient plus riche, et plus spirituel; j'ai appris à aimer Odette, et à accepter l'Autre dans son être, à le tolerer dans ses sentiments, à l'aimer dans son humanité. Merci Mamina. Merci Odette. Merci Atar, l'Adrar, la Mauritanie.
Amis, amies d'Odette, J'ai visité cette exposition à Atar, et je vous recommande de lire l'essai de Katherine Roussos sur cette bretonne au désert, que vous pouvez trouver sur le net à l'adresse electronique de la SIELEC: socièté internationale d'étude des littératures de l'ère coloniale, intitulé : "Odette du Puigaudeau: entre idéalisme et désenchantement".
Le but de la création de cet espace est de faire connaitre cette téméraire qui est méconnue aujourd’hui en France et en Mauritanie et de sauver de l’oublie tout ce qui peut encore l’être. Cette bretonne mauritanienne d’adoption est considérée comme une mémoire de nos racines nomades , une visite guidée et gratuite pour tous les visiteurs , dix livres dont des anciennes réédition certains ne sont pas encore réédités des photos et des outils que nous utilisions à l’époque ainsi que d’autres du néolithique, cette philanthrope avisée, a pu prestement s’introniser dans notre famille chamelière où elle fût acceptée et respectée , sa vision est marquée par sa culture, son éducation et sa noblesse cette descendante d’armateurs nantais et des marins dunkerques .
Visiter cette exposition c’est voyager hors du temps sur les traces de cette aventurière dont la destinée est hors série au vrai sens du mot comme l’a qualifié Le savant multidisciplinaire Théodore Monod
J'ai visité cette exposition, et j'y ai decouvert un Mauritanien fier de l'être, mais surtout un amoureux de son pays dont la Mauritanie peut être fière.
RépondreSupprimerJ'aime la Mauritanie.
Il m'a fait aimé ceux qui aiment son pays, et en premier Odette du Puigaudeau, qu'il expose avec un amour et une tolerance, qu'on ne trouve que dans ce pays aux millions de poètes, ce pays à l'hospitalité légendaire: le pays du thé, de la belle étoile, de l'horizon, et du silence...la terre des hommes.
Qui visite la Mauritanie en revient plus riche, et plus spirituel; j'ai appris à aimer Odette, et à accepter l'Autre dans son être, à le tolerer dans ses sentiments, à l'aimer dans son humanité.
Merci Mamina.
Merci Odette.
Merci Atar, l'Adrar, la Mauritanie.
Amis, amies d'Odette,
RépondreSupprimerJ'ai visité cette exposition à Atar, et je vous recommande de lire l'essai de Katherine Roussos sur cette bretonne au désert, que vous pouvez trouver sur le net à l'adresse electronique de la SIELEC: socièté internationale d'étude des littératures de l'ère coloniale, intitulé : "Odette du Puigaudeau: entre idéalisme et désenchantement".